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  • Plateforme numérique – Centre de la participation citoyenne DITP

    Auteur(s) : DITP - Direction interministérielle de la transformation publique

    2019

    Dans un contexte de montée en puissance des dispositifs participatifs au niveau national, du Grand Débat et de la future réforme constitutionnelle, le Centre de la participation citoyenne (avec la plateforme qui lui servira d’appui), est lancé le 25 novembre 2019, lors de la Semaine de l’innovation publique.

    Le Centre de la participation citoyenne au sein de la Direction interministérielle de la Transformation Publique (DITP) est destiné à accompagner les ministères dans leurs dispositifs de participation (notamment avec un appui au cadrage, à la conception et au pilotage des dispositifs de concertation, accompagnement sur le devoir de suite et les recommandations issues de la concertation).

    C’est un espace en ligne, dans lequel les administrations ont accès à des ressources méthodologiques et des éléments d’aide au cadrage stratégique pour lancer leurs dispositifs participatifs. On y trouve kit méthodologique, canevas d’engagements, recommandations de dispositifs à engager selon les objectifs de la concertation, recensement de prestataires spécialisés dans la mise en œuvre de dispositifs de participation, supports juridiques nécessaires et la possibilité de déployer des plateformes numériques mutualisées… Dans une perspective d’amélioration continue de la qualité des démarches participatives, un travail de capitalisation est réalisé par la valorisation de bonnes pratiques et par l’animation d’une communauté d’agents publics. Le centre a enfin pour vocation à travailler de manière rapprochée avec l’écosystème de la participation (praticiens, chercheurs, civic tech, etc.) et de partager ces travaux pour le bénéfice de tous.

    agents.participation-citoyenne.gouv.fr

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  • Prospective participative – Compte-rendu rencontre #3 ICPC 44 (octobre 2019)

    Auteur(s) : Institut de la Concertation et de la Participation Citoyenne

    2019

    A l’initiative du groupe de coordination du réseau de l’ICPC 44, une rencontre a été organisée le 9 octobre 2019 de 14H à 17H au Lieu Unique, à Nantes .

    Cette rencontre a réuni une quarantaine de praticiens de la participation du territoire autour de deux intervenants Magali Marlin, chargée de prospective à Nantes Métropole et Jacky Foucher, designer, avec pour objectifs de :

    • Proposer, en réponse aux attentes des membres, d’approfondir la thématique de la
      prospective : Qu’entend-on vraiment par prospective et quelle est sa déclinaison dans l’exercice participatif ? Quelles sont les limites de l’exercice ? Quels sont les points de vigilance à avoir et qu’est-ce qui fonctionne bien dans les dispositifs participatifs de prospective en terme de méthode, de contenu, de public, d’attendu ? Quel intérêt de l’approche design dans la prospective ?
    • Pouvoir échanger des pratiques, en lien avec les interventions
    • Poursuivre l’interconnaissance entre les membres du réseau

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  • Quand la participation des habitants accélère la transition, expériences de terrain

    Auteur(s) : Collectif Paysages de l’Après-Pétrole (PAP)

    2019

    Partant du constat que les procédures descendantes des grandes études et grands projets imaginés par de célèbres experts et mises en oeuvre par d’importants élus ont montré leurs limites, Laurence Renard, paysagiste, et Nicolas Tinet, urbaniste, tous deux co-fondateurs de la Fabrique du lieu, ont choisi, à travers 4 expériences, de renouveler les approches en partant des besoins et des envies des hommes et des femmes qui habitent le territoire. Ils parient sur une telle méthode afin d’orienter son devenir vers un « paysage de l’après-pétrole », convaincus qu’elle permettra une évolution indispensable. Pour parvenir à cette manière de penser, il leur a fallu désapprendre leurs métiers respectifs et imaginer de nouvelles procédures, inventer des outils d’animation légitimes et savoir en analyser les résultats.

    Article puisé dans la base de donnée de l’association Citego

    http://www.citego.org/bdf_fiche-document-1506_fr.html

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  • La démocratie en France et en Europe

    Auteur(s) : Viavoice

    2019

    Etude d’opinion réalisée par Viavoice pour le Prix de la Démocratie et la Revue Civique

    • Synthèse des enseignements
    • La démocratie en France
    • La démocratie au sein de l’Union européenne
    • La démocratie en Europe
    • La France, un modèle démocratique ?
    • Les atouts de la démocratie française
    http://www.institut-viavoice.com/wp-content/uploads/2018/11/2018-11-16-La-D%C3%A9mocratie-en-France-et-en-Europe.-Etude-Viavoice-pour-le-Prix-de-la-D%C3%A9mocratie-et-la-Revue-civique.pdf

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  • Garantir un processus de concertation – Compte rendu atelier “Voix d’avenir” (nov 2019)

    Auteur(s) : Institut de la Concertation et de la Participation Citoyenne

    2019

    La multiplication des dispositifs de participation et de concertation s’est accompagnée d’une défiance envers les procédures visant à associer les citoyens à la décision publique. Cette défiance se nourrit de plusieurs types de critiques : arguments du coût de ces dispositifs, risque du consensus mou ou au contraire du conflit ouvert, décisions déjà prises, manipulation des participants, information tronquée, etc.

    Comment rétablir la confiance entre les acteurs ? Un des moyens de répondre à ces critiques est de faire appel à un garant. Le garant est chargé d’assurer la sincérité et le bon déroulement d’une concertation. Extérieur aux parties prenantes, il a pour vocation de créer un climat de confiance entre elles afin de faciliter le déroulement du processus de concertation. En aucun cas il ne donne son avis sur le projet soumis à concertation.

    Dans le cadre de l’événement “Voix d’avenir” organisé pour ses 50 ans par la Fondation de France, cet atelier proposé par l’ICPC a réuni une quinzaine de participants. Comment devenir garant ? Comment vérifier l’éthique personnelle des garants ? Comment un garant peut-il m’être utile en tant que participant ou maître d’ouvrage ? Autant de questions sur lesquelles ils ont pu échanger.


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  • La concertation est-elle rentable ? Compte-rendu atelier (octobre 2019)

    Auteur(s) : Institut de la Concertation et de la Participation Citoyenne

    2019

    À quoi sert la concertation ? Mérite-t-elle le temps, l’énergie et les budgets qui y sont consacrés ? Que peut-on, ou ne peut-on pas en attendre ? A l’inverse, à quoi s’expose-t-on faute de concertation ?

    Cécile Blatrix et Jacques Méry ont tenté de répondre à ces questions en rassemblant des contributions basées sur des études de cas dans le domaine des déchets, de l’aménagement, de l’eau et de l’assainissement.

    Cet atelier du 17 octobre 2019 qui introduit un cycle d’activités sur l’évaluation de la concertation et de la participation, s’est déroulé ainsi :

    • Présentation de l’ouvrage par ses auteurs  puis débat autour de l’évaluation des processus de concertation : comment s’y prendre ? Quels sont les résultats et comment peut-on les interpréter ?
    • Atelier : quelles sont vos difficultés dans l’évaluation des processus participatifs ? qu’en attendez-vous ?

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  • Municipales 2020 : Manifeste pour une démocratie locale réelle

    Auteur(s) : Médiacités

    2019

    À l’aube des élections municipales, Mediacités propose 25 mesures concrètes pour redonner du pouvoir aux citoyens. Parité, non-cumul des mandats, transparence.

    « Sans institutions communales, une nation peut se donner un gouvernement libre, mais elle n’a pas l’esprit de la liberté », écrivait Alexis de Tocqueville en 1835. Plus d’un siècle et demi plus tard, l’Etat a confié de nombreux pouvoirs aux maires et présidents d’intercommunalités, sans prévoir les garde-fous nécessaires. Sans réels contre-pouvoirs. Au sein de la rédaction de Mediacités, journal d’investigation implanté dans quatre métropoles (Lille, Lyon, Toulouse et Nantes), nous pensons que la démocratie peut et doit retrouver un nouveau souffle depuis le niveau local.

    Plus d’un électeur sur trois ne s’est pas rendu aux urnes lors des précédentes élections municipales, en 2014, tandis qu’un maire sur deux hésiterait à se représenter aux prochaines, en mars 2020. Cette résignation, fruit de l’exercice solitaire du pouvoir au sein de la plupart des collectivités, n’est pas une fatalité. De très nombreux citoyens – les gilets jaunes ou les participants aux marches pour le climat ces derniers mois, mais aussi des entrepreneurs, des syndicalistes, des habitants des quartiers populaires ou des bénévoles associatifs –, manifestent régulièrement leur désir d’approfondissement démocratique. Il est temps d’entendre leurs préoccupations et d’inventer d’autres manières de pratiquer la politique, par le bas, plus collégiales et participatives.

    Il est tout aussi urgent, à moins de six mois du scrutin municipal (les 15 et 22 mars 2020), que les maires cessent de confondre un bulletin de vote avec un blanc-seing valable six ans. Au fil de leurs enquêtes, les journalistes de Mediacités constatent de trop fréquentes dérives autocratiques et éprouvent au quotidien les nombreuses zones grises de notre système politique local. Les 35 000 villes et villages français ont tout autant besoin d’éthique, de transparence et de contre-pouvoirs que l’Elysée, le parlement ou la haute-administration parisienne. Nous proposons 25 mesures – certaines de bon sens, d’autres plus radicales – pour rénover notre démocratie locale. Pour rénover notre démocratie, tout court.

    Le manifeste

    I – RENFORCER LE CARACTERE DEMOCRATIQUE DES ELECTIONS LOCALES

      • Généraliser l’élection directe des élus intercommunaux afin que les citoyens votent pour ceux qui exercent l’essentiel du pouvoir local
      • Instaurer la parité à la tête des collectivités pour permettre à plus de femmes d’accéder (enfin) aux postes de pouvoirs
      • Révéler les noms des soutiens financiers des candidats pour prévenir de potentiels conflits d’intérêts
      • Inscrire d’office les citoyens sur les listes électorales pour un « droit de vote » sans conditions
      • Créer une « Banque de la démocratie » afin que l’argent ne soit plus un frein à l’engagement politique
      • Donner la possibilité à tous les candidats de se former avant le scrutin, afin de diversifier l’origine sociale des futurs élus

    II – LIMITER LES POUVOIRS DU MAIRE OU DU PRESIDENT DE L’EXECUTIF

      • Limiter le cumul des mandats « dans le temps » à douze ans afin de renouveler plus fréquemment nos élus et prévenir les risques de clientélisme
      • Créer un poste de président du conseil municipal, dissocié de la fonction de maire, afin d’assurer un fonctionnement plus collégial et créer du débat au sein de la majorité
      • Renforcer les droits et prérogatives des adjoints et conseillers municipaux de base pour atténuer l’omnipotence du maire
      • Favoriser le contrôle de l’action des collectivités par le grand public afin qu’il ne soit plus perturbé par des considérations politiques

    III – FAVORISER L’IMPLICATION CITOYENNE

      • Faciliter la possibilité d’inscrire des sujets à l’ordre du jour des assemblées locales pour impliquer davantage les citoyens dans les affaires de la cité
      • Instaurer un référendum local d’initiative citoyenne (RLIC) pour que les citoyens puissent eux aussi être à l’origine de consultations
      • Tirer au sort des « jurys populaires » thématiques pour inclure les habitants au cœur des processus de décision qui affectent leur vie
      • Permettre des audits citoyens pour évaluer les politiques publiques en toute impartialité
      • Assurer une transparence totale autour du financement des associations locales, afin de les libérer de leur tutelle politique

    IV – REEQUILIBRER LES POUVOIRS ENTRE MAJORITE ET OPPOSITION

      • Réduire la prime majoritaire lors des élections municipales pour rééquilibrer le rapport de forces entre majorité et opposition
      • Attribuer les présidences de la commission des finances et des appels d’offres à un élu d’opposition pour instituer des garde-fous au pouvoir exécutif
      • Prévenir suffisamment à l’avance les dates et contenus des conseils municipaux afin de faciliter le travail préparatoire des élus d’opposition
      • Faciliter la création de missions d’information et d’évaluation pour renforcer les contre-pouvoirs au sein de la municipalité

    V – AMELIORER LA TRANSPARENCE

      • Instaurer un registre des lobbys locaux et publier l’agenda des élus pour prévenir les conflits d’intérêts
      • Faire toute la lumière sur les frais des élus locaux pour éviter les abus et lutter contre le discours « tous pourris »
      • Doter la CADA d’un pouvoir de sanction pour forcer les collectivités à travailler en toute transparence
      • Créer dans chaque ville un poste de défenseur des droits des citoyens pour traiter les plaintes des citoyens suite à des négligences de la collectivité
      • Plafonner les dépenses de communication des collectivités locales pour prévenir les abus
      • Encadrer la presse territoriale afin de garantir un meilleur équilibre entre propagande institutionnelle et information

    Pour signer le manifeste “Municipales : redonnons du pouvoir aux citoyens”, rendez-vous sur le site internet.

    https://www.mediacites.fr/manifeste-25-propositions-municipales-2020/

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  • La démocratie participative, qu’est-ce exactement ?

    Auteur(s) : Cyril Lage, Julia Taddei

    2019

    La démocratie participative est une forme de partage et d’exercice du pouvoir, fondée sur le renforcement de la participation des citoyens à la prise de décision politique. La démocratie participative peut prendre plusieurs formes, mais elle s’est d’abord instaurée sur le terrain de l’aménagement du territoire et de l’urbanisme, avant de s’étendre dans les champs de l’environnement. Découvrez toutes les informations sur ce modèle qui fait beaucoup parler de lui pendant les temps qui courent

    Discussion modérée par :
    • Audrey Pulvar

    Avec :
    • Cyril Lage, Cofondateur et CEO, Cap Collectif
    ▪ Julia Taddei, Présidente Codemos

    31 oct. 2019
    https://www.youtube.com/watch?v=LL6X1jC8ixc

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  • Guide pratique pour l’évaluation des processus participatifs

    Auteur(s) : OIDP

    2006

    Ce document a été élaboré avec l’appui de l’Institute de Gouvernement et Politiques Publiques de l’Université Autonome de Barcelona, à partir du débat suscité par les résultats du Groupe de Travail constitué dans la Vème Conférence de l’OIDP (2005).

    Le Groupe de Travail « Eléments communs pour la définition d’un objet d’études des OLDP : thèmes, indicateurs et indices » coordonné par la ville de Donostia – San Sebastián a développé
    ses tâches pendant les années 2005 et 2006.

    Ce document est public et nous espérons qu’il soit d’une énorme utilité pour toutes les villes /régions / institutions qui l’utilisent.
    Cependant, avec la volonté de continuer de perfectionner nos travaux et d’avancer d’une manière branchée, nous demandons à tous ceux qui utilisent ce document dans l’évaluation d’une pratique participative partager avec nous ses réflexions sur l’applicabilité, utilité, forces et faiblesses des contenus ici exprimés.

    Traduit en français par : OLDP de Saint-Denis


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  • Comprendre et entreprendre une évaluation participative. Guide de synthèse

    Auteur(s) : Steve Jacob ; Laurence Ouvrard

    2009

    PerƒEval est un laboratoire de recherche de l’Université Laval (Québec) qui étudie la performance et l’évaluation de l’action publique.

    L’objectif de ce pôle d’expertise et de ressources est de contribuer aux réflexions et à l’avancement des connaissances dans un domaine en plein essor. L’équipe du laboratoire PerƒEval est constituée de chercheurs: professeurs, professionnels de recherche et étudiants des cycles supérieurs (maîtrise et doctorat). Ces chercheurs  réalisent des travaux autour de trois axes principaux: l’évaluation participative, la gestion de la performance et l’éthique de l’action publique.

    La nouvelle gouvernance génère des transformations importantes du rapport entre l’État et les citoyens. La participation citoyenne est désormais considérée comme un élément essentiel à la bonne gouvernance qui occupe un espace croissant dans les processus de gestion publique au Canada. Ce courant n’épargne pas le champ de l’évaluation des politiques et des programmes publics, au sein duquel on assiste au développement d’approches participatives. Toutefois, le potentiel de l’évaluation
    participative est généralement méconnu au sein de la fonction publique et peu d’informations concrètes sur ce « nouvel» outil de gestion sont disponibles.

    L’objectif de ce guide est de fournir des repères sur l’évaluation participative. Centré sur les avantages et les inconvénients de la démarche participative, il a pour objectif d’inciter les gestionnaires, évaluateurs ou acteurs de programmes à la réflexion pour mieux identifier les atouts de ce type de démarche et anticiper les difficultés éventuelles auxquelles ils pourraient être exposés ou les questions à prendre en considération au préalable avant de se lancer dans la démarche. Ce guide s’inscrit dans le cadre d’un projet de recherche sur les pratiques exemplaires en évaluation participative financé par l’École de la fonction publique du Canada et repose en particulier sur une revue de la littérature portant sur les avantages et les inconvénients de l’évaluation participative.

    https://www.perfeval.pol.ulaval.ca/sites/perfeval.pol.ulaval.ca/files/2009__guide_eval.pdf

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  • Démarches participatives dans l’agglomération grenobloise : constats et évolutions

    Auteur(s) : Observatoire des pratiques participatives de l'agglomération grenobloise

    2010

    Jusqu’en 2006, les études étaient globales sur l’ensemble des communes de l’agglomération grenobloise. Il a été choisi depuis 2007 de se focaliser sur des
    thématiques émergentes (associations, jeunes…).

    En 2010, à l’heure de l’élaboration de la charte de la participation, quatre années
    après la dernière étude globale sur l’agglomération grenobloise, la commission
    politique de la ville de la Communauté d’agglomération grenobloise a souhaité refaire
    un point sur les évolutions des discours, d’organisations, de pratiques notamment des
    collectivités locales, afin de continuer à alimenter l’observatoire et la charte en
    préparation.

    Deux focales ont été privilégiées :

    Première démarche : les pratiques et le point de vue des collectivités locales.
    D’une part un questionnaire a été envoyé à l’ensemble des communes de l’agglomération grenobloise. Ce questionnaire est parti de celui réalisé en 2006, renforcé d’un certain nombre de questions actuelles. Des entretiens avec des élus et/ou des professionnels des collectivités sont venus peaufiner les points de vue.

    Deuxième démarche : les dires et perceptions d’acteurs autour de quatre axes :
    1/ Les nouveaux sujets et objets de la participation aujourd’hui.
    2/ Les méthodes et les formes.
    3/ Le lien à la décision publique.
    4/ Le lien entre pratiques participatives et vitalité locale

    http://www.alpesolidaires.org/files/Demarches_particpatives_2010.pdf

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  • Critères d’évaluation des pratiques participatives dans l’agglomération grenobloise

    Auteur(s) : Yves Sintomer

    2005

    Grille proposée par Yves Sintomer dans le cadre du programme européen Partecipando pour évaluer les pratiques participatives


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  • Quantifier la concertation, cela en vaut-il la peine ?

    Auteur(s) : Guy-El-Karim Berthomé

    2009

    Les chercheurs en sciences sociales disposent de peu d’ordres de grandeur précis et fiables concernant les variables internes aux processus de concertation qu’ils étudient. En réponse à cet état de fait, cet article livre sous forme d’un tableau les niveaux quantifiés de plusieurs variables majeures de trois cas de concertation dans le domaine de la gestion des déchets.

    Au-delà, si ces résultats quantitatifs peuvent être présentés en une seule page, leur obtention en aura nécessité des centaines, associant des informations filtrées à une comptabilité précise. Un tel investissement en vaut-il vraiment la peine ? Cet article met en lumière une méthode originale mais exigeante de quantification des variables internes à la concertation, et souligne certaines des opportunités offertes par la quantification. Autant d’éléments qui pourront alimenter le débat sur l’intérêt de quantifier la concertation.


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  • GRILLE D’ANALYSE QUALITATIVE DES EXPÉRIENCES LOCALES

    Auteur(s) : Partecipando

    2005

    Grille réalisée dans le cadre du réseau Partecipando (Participation des citadins aux programmes intégrés de requalification urbaine comme clé pour la cohésion sociale) du programme européen URBACT 2002-2007

    1. La participation : pourquoi et pour qui ?
    2. Outils et méthodes pour la participation des habitants
    3. La communication et la formation des acteurs
    4. Les aspects participatifs dans les différentes phases d’avancement d’un projet

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  • Pour une méthode d’approche des instances participatives locales

    Auteur(s) : Hugues de Varine

    2002

    Le projet est un essai de formulation simplifiée d’une méthode d’analyse des dispositifs existant sur un territoire, d’évaluation d’une structure particulière et enfin de gestation d’une nouvelle structure sur un territoire donné.

    Il s’adresse aux décideurs locaux (élus, fonctionnaires territoriaux et agents de développement).

    Habituellement, sur un même territoire co-existent de nombreux dispositifs et de nombreuses structures, qui se recoupent, se superposent, parfois entrent en concurrence, ne serait-ce que pour le temps disponible des personnes qui les animent et pour les financements dont ils peuvent bénéficier. Il importe donc, avant de vouloir créer du nouveau pour répondre à une volonté politique, à un besoin stratégique, à une incitation venue d’en haut ou à une urgence nouvelle, de faire le tableau et le bilan de tout ce qui existe. Idéalement, cela devrait donner lieu à un fichier, mais le simple fait d’être conscient de tout ce qui existe est déjà un atout dans les prises de décision suivantes.
    Je propose donc, pour ne rien oublier, une grille (voir ci-dessous le tableau 1) qui retient trois grandes catégories de dispositifs, rangées selon les principaux niveaux territoriaux. Les noms choisis, comme pour les tableaux suivants, peuvent changer d’un territoire à l’autre.

    Evaluation de la participation


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  • Evaluer la participation aux politiques de solidarité

    Auteur(s) : Ministère des Solidarités et de la santé

    2018

    La participation citoyenne aux politiques de solidarité est un levier essentiel pour faire changer le regard des institutions sur les problématiques individuelles ou collectives, concevoir des dispositifs et des modes d’intervention plus cohérents et efficaces, et développer la capacité d’agir individuelle des personnes.

    Pour accompagner les partenaires et acteurs des politiques des solidarités dans ce type de démarche, le ministère des Affaires sociales et de la Santé a conçu un kit de la participation citoyenne, en lien avec un groupe de travail constitué de professionnels, de responsables d’associations et de citoyens.

    Cette fiche sur l’évaluation fait partie de ce kit de la participation citoyenne.


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  • L’évaluation participative : De la prise en compte des publics au pouvoir d’agir citoyen

    Auteur(s) : Hélène Milet

    2015

    Cahiers de la Société Française de l’Evaluation n°9

    La question de la participation se situe au coeur d’un certain nombre de dynamiques propres à l’action publique dans son ensemble.
    Dans la plupart des discours sur cette question, c’est la dynamique démocratique qui est affirmée en premier. Cette dimension n’est pas contestable, bien sûr, mais elle reste insuffisante pour bien saisir la réalité des processus en cours et ce qui se joue véritablement autour de la participation. En effet, l’évolution même de l’action publique et la place grandissante des jeux d’acteurs qui la traversent et la structurent nous conduisent à avoir une approche plus large de la dimension participative.
    Depuis quelques décennies l’action publique s’est développée de façon significative, les champs concernés ont été considérablement élargis, le nombre et la qualité des acteurs impliqués n’a fait que croître. En un mot, l’action publique s’est complexifiée, rendant plus difficile sa visibilité et sa lisibilité. De plus, depuis les années quatre-vingt, l’action publique n’est plus perçue comme vertueuse par essence. Du fait du contexte économique et financier, les premiers questionnements et les premières critiques se sont portés sur les coûts, sur la dépense. En outre, même si cette dimension reste vive dans les controverses au vu, notamment des déficits, ont émergées d’autres
    interrogations, portant sur l’efficacité voire sur l’utilité même de l’action publique. Ces critiques ont plusieurs sources, plusieurs dimensions. Certaines sont aussi portées par des usagers, des citoyens notamment en termes de qualité du service rendu.
    De fait l’on assiste à une forme de mise en débat, formalisée ou non, de l’action publique, posant notamment la question de l’acceptabilité de la décision publique au-delà de sa légalité et de sa légitimité. Dans ce contexte, les problématiques de pertinence, d’efficacité et d’utilité sociale de l’action, entre autres critères, ont gagné en prévalence.
    La question de la participation s’inscrit au carrefour de trois dynamiques imbriquées qui traversent et, d’une certaine façon, structurent le déploiement de l’action publique :

    • L’action publique se transforme, elle devient de plus en plus complexe, elle cherche à s’adapter aux besoins, aux demandes. La chaîne qui conduit de la décision à l’action proprement dite met en jeu une pluralité de niveaux intermédiaires, d’acteurs, chacun apportant sa vision dans la façon d’agir ;
    • Les modes de management se modifient également, cela concerne tant les agents publics ou chargés d’une mission de service public que les opérateurs privés chargés des mises en oeuvre. Il y a là des mouvements organisationnels et fonctionnels importants qui pèsent sur l’effectivité, l’efficacité et la qualité d’une action publique ;
    • Les demandes citoyennes s’accroissent notamment en matière de fonctionnement
      démocratique. Des débats sur les limites de la démocratie représentative et sur le besoin de démocratie participative, quelles qu’en soient les formes, comme une multitude d’initiatives citoyennes, souvent peu médiatisées, en témoignent.
      La question du caractère participatif de l’évaluation n’est donc pas une simple option parmi d’autres formes d’évaluation.

    En creux, l’on voit bien dans le développement du lobbying, de rapports de force, que ce soit avant la décision ou après, une traduction de ce mouvement en faveur de la participation. Et de ce point de vue il s’agit tout à la fois d’une exigence de démocratie mais aussi d’efficacité compte tenu de l’implication de fait d’une foultitude d’acteurs dans le processus de l’action publique. En effet, chacun d’entre eux détient une partie de l’information, possède un point de vue sur ce qui est fait ou pas fait, et d’une certaine façon, un pouvoir d’inflexion, plus ou moins affirmé, sur l’action elle-même. Dès lors il est important de préciser quelques repères sur ces jeux d’acteurs, et c’est notamment ce à quoi va s’attacher le cahier qui vous est ici présenté.


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  • Guide méthodologique Evaluer l’utilité sociale

    Auteur(s) : ICP ; UCPA

    2018

    Guide méthodologique pour les entreprises de l’économie sociale et solidaire.

    Dans une société qui aspire à réconcilier le progrès et le souci de la nature, la  gouvernance, au sens large, des organisations est réinterrogée pour intégrer le développement durable, la démocratie participative et la transformation digitale. Il s’agit d’inventer de nouvelles manières d’articuler de manière vertueuse la création
    de richesse et la culture de la cohésion sociale. Le Ministre de la Transition écologique et solidaire appelait récemment à « placer l’impact social au coeur de la transformation sociale et économique ». Traditionnellement, évaluer ses activités permet de rendre
    des comptes et d’améliorer la performance d’une organisation.

    Une démarche d’évaluation d’utilité sociale porte aussi d’autres perspectives : travailler son identité, envisager de nouvelles missions, mettre en évidence des valeurs inattendues. Dans ce sens, l’UCPA a mené un travail de recherche-action sur l’évaluation de l’utilité sociale de 2015 à 2018. Cette démarche s’inscrit dans le cadre d’une des trois priorités du plan stratégique Sport-Connexions de l’Association : devenir une organisation apprenante.

    À l’occasion de la rencontre « Inventer l’asso. de demain » organisée à la suite de l’assemblée générale de l’UCPA le 29 mars 2018 au CNOSF, il a paru utile de partager les principaux résultats de ce travail à travers une présentation abrégée. Un ouvrage
    complet sera publié au second semestre 2018.


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  • Les chartes de concertation et de participation territoriale en France : analyse à partir d’un recensement

    Auteur(s) : Connect

    2016

    Recherche réalisée en 2014 par Claire Duthu, étudiante, sous la supervision de Jean-Marc Dziedzicki, directeur exécutif, puis en 2015 par Eugénie Blanchard, étudiante, sous la supervision d’Arthur Jobert, chercheur associé, Hugues Bouthinoon-Dumas, professeur de droit et de Laurence de Carlon, professeur de concertation territoriale et titulaire du centre CONNECT.

    Cette étude se propose de se focaliser sur un instrument : les chartes de la concertation ou de la participation. Il ne s’agit pas de faire la promotion de cet instrument, ni de lui prêter a priori des effets importants. Isoler cet outil et en analyser les modes de conception, les définitions et mises en oeuvre donnent accès à un ensemble de pratiques qui se diffusent localement. Cela permet à la fois de donner corps à l’intuition de la diffusion des chartes de concertation et de participation en France, d’évaluer l’importance du phénomène, puis de distinguer des nuances et de proposer des typologies.


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  • Guide pour concevoir et animer des réunions et ateliers créatifs

    Auteur(s) : Centre des pratiques de la Coopération

    2015

    Le Centre des pratiques de la Coopération propose un guide pour concevoir et animer des ateliers créatifs.

    Théorie 1 : La créativité en milieu professionnel
    Théorie 2 : Les processus de créativité
    Théorie 3 : Les dynamiques de groupe
    Théorie 4 : La boîte à outils de l’animateur de réunion
    Théorie 5 : L’art de la communication selon Guy Kawasaki
    Fiche Outil 1 : Atelier d’écriture créative
    Fiche Outil 2 : Métaphore
    Fiche Outil 3 : Brainstorming visuel
    Fiche Outil 4 : Le World Café
    Fiche Outil 5 : Scribing
    Fiche Outil 6 : Le Creative Problem Solving
    Fiche Outil 7 : L’investigation appréciative (IA)
    Fiche Outil 8 : Vote pondéré
    Fiche Outil 9 : Scénarios
    Fiche Outil 10 : Atelier vignettes

    http://cpcoop.fr/wp-content/uploads/2015/01/GuideAteliersCreatifs.pdf

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