Le 30 mars 2017, l’association Asterya a organisé une journée d’étude intitulée “Place, posture et éthique dans les métiers de la participation” ; l’ICPC a été associé à la démarche, et y est intervenu. Les Actes & les vidéos sont disponibles
[su_heading size= »22″ margin= »60″]La journée d’étude du 30 mars 2017[/su_heading]
En ouverture de la journée, nous y avons présenté les résultats de trois groupes d’échange de pratiques que nous avons organisés en amont à Paris, Lyon et Nantes avec les membres de l’Institut.
Nous avons également présenté une communication au sein de l’atelier consacré aux questions d’éthique dans les métiers de la participation, intitulée « Garantir l’éthique ? Faire évoluer les pratiques par le cadrage des dispositifs : chartes et garants de la participation ».
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Vous pouvez trouver les actes de cette journée sur le site d’Asterya ici !
[su_heading size= »22″ margin= »60″]Les GEP organisés à Paris, Lyon et Nantes[/su_heading]
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L’Institut de la concertation et de la participation citoyenne a organisé trois groupes d’échange de pratiques (GEP) à Paris, Lyon et Nantes en mars. En effet, nous avons souhaité associer nos membres à la réflexion sur les trois axes de la journée du 30 mars : diversité des postures et pratiques de ceux qui « font participer », professionnalisation des métiers et éthique dans ces métiers.
Nous avons donc organisé ces trois GEP (Paris le 10 mars, Lyon le 17 mars, Nantes, le 21 mars) autour d’une série de questions :
Peut-on formaliser une ou des postures favorisant la participation effective, voire en dresser une typologie ? Ces savoir-être et/ou savoir-faire diffèrent-ils d’une méthode à l’autre, d’un outil à l’autre ?
Quelles sont les conséquences d’une professionnalisation des acteurs ? Quels sont les risques d’un formatage des dispositifs ? Quelles questions pose l’émergence de figure d' »experts militants » ?
Quel est le rôle de l’éthique dans la pratique de son métier ? Quelle relation entre l’éthique personnelle de chacun, et son éthique professionnelle ?
Sans être exhaustives, ces questions permettent de prendre du recul sur les pratiques professionnelles de chacun, et se posent au quotidien pour nombre d’acteurs de la participation. Ces groupes d’échange ont permis de faire émerger des pistes de réflexion qui ont alimenté la journée du 30 mars.