A l’occasion de la cinquième édition des Rencontres de la participation à Amiens, Décider ensemble a publié un Appel à l’attention des futurs candidats aux élections présidentielles et législatives. Celui-ci énonce 5 grands objectifs qui nous paraissent prioritaires pour renouveler notre démocratie et imaginer de nouveaux systèmes de décisions.
Nous vous proposons alors 5 ateliers numériques pour transformer ces grands objectifs en propositions concrètes à porter à l’attention des candidats aux élections. Ces ateliers font suite au premier atelier de travail qui s’est tenu lors des Rencontres à Amiens.
Ce premier atelier a pour but d’imaginer des propositions pour concretiser une politique d’éducation à la démocratie
« Cette culture de la décision partagée ne peut être envisagée que si nous proposons dès le plus jeune âge, à tous, une véritable éducation à la démocratie. La démocratie ne se résume pas au vote, loin de là. Au-delà de l’Etat de droit, de la Liberté et de l’égalité, du respect du fait majoritaire et des droits de la minorité, elle nécessite une compréhension claire des enjeux. Et si, comme nous le pensons, chaque expression compte, chacun doit pouvoir prendre (et oser prendre) la parole et s’engager. Les réflexions doivent se poursuivre pour développer des processus inclusifs et représentatifs permettant à chacun d’avoir sa place dans le débat : femmes, minorités, jeunes générations…. C’est un impératif à l’heure où les inégalités s’accroissent sans cesse et où la pauvreté explose.
Le numérique, y compris les réseaux sociaux, sont des outils pouvant permettre d’élargir le débat et de créer de nouveaux espaces de discussions. A condition que chacun puisse s’en saisir (l’illectronisme est une réalité en France) et en apprenne le maniement et les pièges, à l’heure de la montée en puissance des fake news.
Nous devons donner les clefs à chacun pour devenir un « citoyen éclairé » à travers l’éducation, l’information et la pratique du débat. »v
Ce dernier atelier sert à imaginer des propositions pour une diffusion d’une culture de la décision partagée
« Nous devons tout d’abord faire évoluer l’état d’esprit jacobin et pyramidal qui, en France, conduit à la prise de décision. A tous les niveaux institutionnels, de la mairie à l’Etat, au sein des entreprises, des associations, des fédérations, le développement et l’appropriation d’une culture du dialogue et du débat permettra d’aboutir à des décisions mieux construites, mieux fondées et mieux acceptées par tous. Transition écologique, accroissement des inégalités… c’est par l’échange, sans confiscation, au sein même de la société que les équilibres doivent être trouvés pour être admis.
Nous pensons que toute parole est porteuse de sens. Elle mérite écoute et prise en compte. C’est ainsi que pourra renaître une culture civique et un intérêt renouvelé des citoyens pour la chose publique. »
Inscriptions
L’inscription est gratuite mais obligatoire.
https://www.weezevent.com/appel-d-amiens-ateliers-de-travail
Ce premier atelier a pour but d’imaginer des propositions pour concretiser une politique d’éducation à la démocratie
« Cette culture de la décision partagée ne peut être envisagée que si nous proposons dès le plus jeune âge, à tous, une véritable éducation à la démocratie. La démocratie ne se résume pas au vote, loin de là. Au-delà de l’Etat de droit, de la Liberté et de l’égalité, du respect du fait majoritaire et des droits de la minorité, elle nécessite une compréhension claire des enjeux. Et si, comme nous le pensons, chaque expression compte, chacun doit pouvoir prendre (et oser prendre) la parole et s’engager. Les réflexions doivent se poursuivre pour développer des processus inclusifs et représentatifs permettant à chacun d’avoir sa place dans le débat : femmes, minorités, jeunes générations…. C’est un impératif à l’heure où les inégalités s’accroissent sans cesse et où la pauvreté explose.
Le numérique, y compris les réseaux sociaux, sont des outils pouvant permettre d’élargir le débat et de créer de nouveaux espaces de discussions. A condition que chacun puisse s’en saisir (l’illectronisme est une réalité en France) et en apprenne le maniement et les pièges, à l’heure de la montée en puissance des fake news.
Nous devons donner les clefs à chacun pour devenir un « citoyen éclairé » à travers l’éducation, l’information et la pratique du débat. »
Ce premier atelier a pour but d’imaginer des propositions pour concretiser une politique d’éducation à la démocratie
« Cette culture de la décision partagée ne peut être envisagée que si nous proposons dès le plus jeune âge, à tous, une véritable éducation à la démocratie. La démocratie ne se résume pas au vote, loin de là. Au-delà de l’Etat de droit, de la Liberté et de l’égalité, du respect du fait majoritaire et des droits de la minorité, elle nécessite une compréhension claire des enjeux. Et si, comme nous le pensons, chaque expression compte, chacun doit pouvoir prendre (et oser prendre) la parole et s’engager. Les réflexions doivent se poursuivre pour développer des processus inclusifs et représentatifs permettant à chacun d’avoir sa place dans le débat : femmes, minorités, jeunes générations…. C’est un impératif à l’heure où les inégalités s’accroissent sans cesse et où la pauvreté explose.
Le numérique, y compris les réseaux sociaux, sont des outils pouvant permettre d’élargir le débat et de créer de nouveaux espaces de discussions. A condition que chacun puisse s’en saisir (l’illectronisme est une réalité en France) et en apprenne le maniement et les pièges, à l’heure de la montée en puissance des fake news.
Nous devons donner les clefs à chacun pour devenir un « citoyen éclairé » à travers l’éducation, l’information et la pratique du débat. »
Ce premier atelier a pour but d’imaginer des propositions pour concretiser une politique d’éducation à la démocratie
« Cette culture de la décision partagée ne peut être envisagée que si nous proposons dès le plus jeune âge, à tous, une véritable éducation à la démocratie. La démocratie ne se résume pas au vote, loin de là. Au-delà de l’Etat de droit, de la Liberté et de l’égalité, du respect du fait majoritaire et des droits de la minorité, elle nécessite une compréhension claire des enjeux. Et si, comme nous le pensons, chaque expression compte, chacun doit pouvoir prendre (et oser prendre) la parole et s’engager. Les réflexions doivent se poursuivre pour développer des processus inclusifs et représentatifs permettant à chacun d’avoir sa place dans le débat : femmes, minorités, jeunes générations…. C’est un impératif à l’heure où les inégalités s’accroissent sans cesse et où la pauvreté explose.
Le numérique, y compris les réseaux sociaux, sont des outils pouvant permettre d’élargir le débat et de créer de nouveaux espaces de discussions. A condition que chacun puisse s’en saisir (l’illectronisme est une réalité en France) et en apprenne le maniement et les pièges, à l’heure de la montée en puissance des fake news.
Nous devons donner les clefs à chacun pour devenir un « citoyen éclairé » à travers l’éducation, l’information et la pratique du débat. »
Ce premier atelier a pour but d’imaginer des propositions pour concretiser une politique d’éducation à la démocratie
« Cette culture de la décision partagée ne peut être envisagée que si nous proposons dès le plus jeune âge, à tous, une véritable éducation à la démocratie. La démocratie ne se résume pas au vote, loin de là. Au-delà de l’Etat de droit, de la Liberté et de l’égalité, du respect du fait majoritaire et des droits de la minorité, elle nécessite une compréhension claire des enjeux. Et si, comme nous le pensons, chaque expression compte, chacun doit pouvoir prendre (et oser prendre) la parole et s’engager. Les réflexions doivent se poursuivre pour développer des processus inclusifs et représentatifs permettant à chacun d’avoir sa place dans le débat : femmes, minorités, jeunes générations…. C’est un impératif à l’heure où les inégalités s’accroissent sans cesse et où la pauvreté explose.
Le numérique, y compris les réseaux sociaux, sont des outils pouvant permettre d’élargir le débat et de créer de nouveaux espaces de discussions. A condition que chacun puisse s’en saisir (l’illectronisme est une réalité en France) et en apprenne le maniement et les pièges, à l’heure de la montée en puissance des fake news.
Nous devons donner les clefs à chacun pour devenir un « citoyen éclairé » à travers l’éducation, l’information et la pratique du débat. »