Les droits culturels ont bousculé une vision de la culture modelée par l’État-nation. Pour Lionel Arnaud, ils constituent même aujourd’hui un « antidote » à la mainmise de l’État et du marché sur la vie culturelle pour reconquérir un « agir culturel commun ». Une participation à la vie culturelle ouverte sur la diversité des imaginaires, apte à refonder une nouvelle citoyenneté.