Entre Montréal (Rosemont–La Petite-Patrie) et Strasbourg, une démarche ambitieuse a vu le jour : interroger la capacité réelle de la participation citoyenne à transformer l’action publique, au-delà des apparences et des dispositifs symboliques.
👉 Lire l’article : La participation citoyenne dans les espaces des possibles
Cette expérience transatlantique, profondément collective et incarnée, a permis de :
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Mettre à l’épreuve les « outils de discernement » imaginés avec Bruno Latour ;
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Expérimenter concrètement le concept de « bureaucratie représentative active par l’extérieur », développé avec Kenneth Meier ;
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Interroger les limites et les promesses de la participation dans des contextes municipaux contrastés.
💬 Les résultats ? Contrastés, parfois surprenants, mais toujours riches d’enseignements.
Ils invitent à sortir du rituel participatif pour inscrire le dialogue citoyen au cœur des pratiques institutionnelles.
Un grand merci aux partenaires engagés des deux côtés de l’Atlantique, élus, agents publics, associations et chercheurs, qui ont rendu cette expérimentation possible.
📢 À lire, à questionner, à partager — pour toutes celles et ceux qui souhaitent faire de la participation un vecteur réel de changement.