Ce mémoire explore la place du récit sensible dans un processus de réhumanisation de la donnée, à partir du bilan de l’expérimentation Territoires zéro chômeur de longue durée.
L’analyse porte sur les motivations à témoigner, les défis de la collecte nationale et les effets du témoignage sur celui qui parle, celui qui recueille et celui qui écoute, tout en maintenant une approche critique sur ses usages et ses intentions.
L’étude s’appuie à la fois sur des apports théoriques et sur des retours d’expérience d’acteurs de terrain ayant participé à la collecte de la parole.