Si la participation citoyenne pour soutenir les jeunes des cités est vue comme un moyen de sortie de crise, elle n’est ni un exercice frileux de modération, ni une capitalisation imprudente de la colère. Une agora qui échappe à cette alternative infernale est un catalyseur d’initiatives qui responsabilisent toutes les parties engagées en soignant le lien, de la stigmatisation à la fraternisation. Illustration à Besançon.